L’Eternel est mon berger

« L’Eternel est mon berger, je ne manquerai de rien. » Psaume 23:1
 
Les brebis ont besoin de trois choses : de pâturage, de repos et d’eau. Trouver ces trois choses en
Palestine n’était pas facile, mais le berger les conduisait toujours à l’endroit où il y avait de la bonne
nourriture, de l’eau et un endroit pour se reposer. Aussi longtemps que les brebis suivaient le berger,
elles ne manquaient de rien, et David le savait.

Bien des années plus tard, Jésus disait qu’Il est le bon berger. Il nous a aussi dit de ne pas nous
inquiéter pour notre nourriture et pour notre vêtement car notre Père céleste sait que nous en avons
besoin. Mais il nous dit de chercher :

“premièrement le royaume et la justice de Dieu, et toutes ces
choses nous serons données par dessus ». (Matthieu 6:33)

Pâques

« Il était environ le sixième heure, et il y eut des ténèbres sur toute la terre, jusqu’à la neuvième heure. Le soleil s’obscurcit, et le voile du temple se déchira par le milieu. Jésus s’écria d’une voix forte ; Père, je remets mon esprit entre tes mains. Et, en disant ces paroles, il expira. » Luc 23:44-46

Souvenons-nous que c’est pour nous que Jésus a accepté de mettre de côté sa gloire, prenant sur lui notre péché. C’est par son sacrifice sur la croix que nous sommes délivrés de la mort et du péché.

Par son sacrifice, il nous a réconcilié avec notre Père céleste, il nous a ouvert la porte du Royaume des cieux. Prenons conscience, en ces temps de Pâques, que nous ne méritons rien mais que dans son amour incommensurable Dieu nous a donné son Fils, son Unique, afin que tous ceux qui croiront en Lui ne meurent pas, mais qu’ils aient la vie éternelle. 

Culte du 28 mars 2021

Culte du 28 mars 2021
 Thème : Dieu est pour nous un refuge.
 
Texte de référence : Psaume 46
 Orateur : Pasteur Samuel Njock.
  
« Dieu est pour nous un refuge et un appui, un secours qui ne manque jamais dans la détresse. » Psaume 46:2
 
Avons-nous réellement conscience que Dieu est pour nous un refuge ?
Aujourd’hui beaucoup de gens pensent qu’ils n’ont pas besoin de Dieu.
Cependant, nous avons tous besoin de Dieu car c’est en Lui que nous sommes solides. Quand nous
sommes dans la détresse, nous pouvons courir vers ce Dieu. Lorsque nous sommes tournés vers
Jésus, nous avons la paix intérieure, la paix que Jésus donne et que rien ne peut changer.
« L’Eternel des armées est avec nous, le Dieu de Jacob est pour nous une haute retraite. » Psaume
46:8 Avec Lui nous sommes en sécurité.

“L’Eternel des armées est avec nous, le Dieu de Jacob est pour nous une haute retraite. » Psaume 46:8

La paix

« Après cela, le Seigneur désigna encore soixante-dix autres disciples et il les envoya deux à deux devant lui dans toutes les villes et dans tous les lieux où lui-même devait aller. Il leur dit : La moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers dans sa moisson. Partez ; voici, je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. Ne portez ni bourse, ni sac, ni souliers et ne saluez personne en chemin. Dans quelque maison que vous entriez, dîtes d’abord : Que la paix soit sur cette maison ». Luc 10:1-5

Nous rencontrons peu de paix aujourd’hui. Non pas celle qui réside dans une formule, mais celle qui est dans les cœurs. Il y a surtout un esprit d’irritation, de troubles, de discordes, de conflits.

Il y a des personnes qui apportent une atmosphère de tension, de colère sans que l’on puisse en déterminer la raison.

Ce n’est pas tant ce qu’ils font qui opère, mais ce qu’ils sont.

Lorsque Jésus a envoyé ses disciples, il les a envoyés avec un ministère de paix.

Si les chrétiens d’aujourd’hui ne prononcent plus la formule « la paix soit sur cette maison », il n’en demeure pas moins qu’ils apportent avec eux le même ministère de paix.

Que le Seigneur vous garde dans Sa paix.


La samaritaine

« Mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura plus jamais soif. Mais l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une fontaine d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle.» Jean 4:14

Cette parole est précieuse. Elle ne dit pas que seuls ceux qui ont reçu une grâce spéciale du Seigneur peuvent avoir une source de vie qui jaillit jusque dans la vie éternelle. Le Seigneur a dit cela à une femme samaritaine qu’il n’avait jamais rencontrée avant. Quand on a soif, cela signifie que l’on n’est pas satisfait. Rendons grâces et louons le Seigneur car nous ne sommes pas seulement contents mais éternellement satisfaits lorsque nous marchons dans ses voies.

Les trois jardins

Les trois jardins …

« Puis l’Eternel Dieu planta un jardin en Eden … » Genèse 2:8

« Lorsqu’il eut dit ces choses, Jésus alla avec ses disciples … où se trouvait un jardin, dans lequel il entra … » Luc 18:1

« Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne, qui se nomme en hébreu Golgotha » Jean 19:17

Le premier jardin fut planté par Dieu en Eden. Il était certainement merveilleux ce jardin ! Dans ce jardin, tout respirait la joie et la sainteté. C’était pour l’homme que Dieu avait fait cela. Mais à cause de sa désobéissance, l’homme a dû quitter ce jardin.

Pour réparer ce drame, Dieu a planté deux autres jardins. Non pour l’homme, mais pour son Fils.

Dans le jardin de Gethsémané, le jardin est sans fleurs, le terrain aride, rien n’est agréable. Il  y a là un homme dans l’agonie, et cet homme c’est Jésus. Il lutte, il pleure, il crie au sein de cette insouciance qui règne à Jérusalem. Des grumeaux de sang tombent de son front. C’est là qu’il a bu la coupe de nos infamies. Quel contraste avec le jardin d’Eden !

Golgotha ! Jésus connaissait ce jardin. C’était le lieu du supplice et de la mort. Jardin rocailleux ne connaissant que des cris de souffrance et de détresse. Sans ce jardin, le ciel restait fermé. Tel est le jardin par lequel Jésus a dû passer et pour finir … le sépulcre mais aussi et surtout le triomphe de la résurrection !

Notre salut n’est pas « bon marché ». Jésus a payé le prix qu’il nous est impossible de payer. Il l’a payé de sa propre vie, de son propre sang. Le Gethsémané que Jésus nous offre est agréable, sa sueur et ses larmes l’ont arrosé, le ciel n’est plus voilé.

“Que feras-tu de Jésus ?